La Française

Groupe de gestion d'actifs

Type d'entreprise

Grande entreprise


Secteur

Banque / Finance


Localisation

128, BOULEVARD RASPAIL 75006 PARIS

Actualités (44)

  • Vie d'entreprise

    La Française : Fresque du Climat

     Depuis juin dernier, le Groupe La Française s’est lancé dans la formidable aventure de la Fresque du Climat organisant son 7ème atelier. Ce sont 82 collaborateurs qui ont déjà pris part à cette expérience enrichissante animée exclusivement en interne par des Fresqueurs formés et engagés.    La Fresque du Climat est un atelier à la fois ludique et pédagogique qui favorise la réflexion collective sur les enjeux climatiques. Grâce à des échanges inspirants, nos participants ont également identifié des actions concrètes à adopter à l’échelle individuel et de l’entreprise.    Le Groupe La Française s'engage pleinement dans cette démarche de sensibilisation. Notre objectif est de déployer la Fresque du Climat auprès de l'ensemble de nos collaborateurs d'ici 2025 !  Nous croyons fermement en la force de la collaboration pour inspirer des changements positifs, et nous sommes impatients de voir les résultats concrets de cette initiative.  

  • Vie d'entreprise

    La Française : La collecte de Noël de vêtements au profit du Secours Populaire

     Pour sa 2ème édition, les étudiants de La Française ont choisi d'organiser la collecte de Noël de vêtements au profit du Secours Populaire.  Un grand merci à notre communauté étudiante qui s'est mobilisée pour cette opération et aux collaborateurs de La Française qui ont répondu présent à ce rendez-vous de fin d'année.  Cette collecte sera bien évidemment renouvelée l'année prochaine ! #Noel #SecoursPopulaire #Collecte

  • Vie d'entreprise

    Cop28, retrouver le chemin perdu

    Les négociations climatiques reprennent le 30 novembre à Dubaï dans un contexte d’évènements météorologiques violents, de conflits géopolitiques et de plus en plus d’examen public sur l’intégrité des engagements annoncés. La question se pose comme chaque année sur le pouvoir de surprise et de rupture de la COP. Sortie de route Globalement, le « World Meteorological Organisation » estime que la température moyenne de la surface de la terre entre 2023 et 2027 est attendue comme supérieure de 1,1°c à 1,8°C par rapport à la moyenne de la fin du 19ème siècle. Une grande partie de cette hausse résulte de nos actions récentes. Les résultats du rapport « global stocktake1 » (qui évalue le retard pris par rapport aux ambitions de 2015 et des accords de Paris) note spécifiquement que 42% des émissions générées depuis 1850 proviennent de la période 1990-2019. Force est de constater que pour garder vivant l’objectif de 1,5°C, des politiques et engagements financiers plus ambitieux sont nécessaires. Après plusieurs années de stagnation, voire de désillusions, cette COP a besoin de démontrer que les négociations climatiques sont toujours adaptées et peuvent apporter un réel changement, à la hauteur du challenge. Rappelons que la trajectoire de 1,5°C nécessite maintenant que les émissions mondiales baissent de 43% d’ici à 2030 vs 2019 et de 60% d’ici à 20351. Pour mémoire, depuis les accords de Paris, les émissions de CO2 étaient en hausse nette à 2021 et doivent atteindre leur sommet avant 2025 pour que la trajectoire soit envisageable. Quelles attentes pour la COP28 ?  La présidence de la COP28 veut mobiliser les contributions publiques et privées sur les zones d’actions suivantes qui pourront contenir plus ou moins de rupture en leur sein : Sur les sujets plus traditionnels de transition énergétique, l’attention va se porter sur l’accélération de la sortie du charbon qui n’est pas attendue comme la source d’une surprise positive. En effet, les projections de l’AR6 (Sixth Assessment Report du Intergovernmental Panel on Climate Change) montrent qu’un alignement avec 1,5°C nécessiterait 67 à 82% de réduction de l’usage de charbon à 2030 vs 20192. Cet nuances de syntaxe laissent encore de la marge à l’action. En revanche, il semblerait que nous pourrions nous attendre à un engagement de l’industrie pétrolière de réduire leurs émissions de Scope 1 et 2 de moitié et de viser le zéro émissions de méthane dans la chaine de valeur. Coté capacité de remplacement, nous nous attendons également à un engagement de triplement de la capacité de renouvelables mondiale d’ici à 2030. Il faut savoir que la tendance ici est bien positive et s’appuie sur la baisse massive des prix unitaires de l’énergie entre 2010 et 2019 avec 85% de réduction pour le solaire et 55% pour l’éolien en moyenne. Au sein du secteur financier, une des plus grandes désillusions est l’engagement autour de la mobilisation des financements publics et privés pour la lutte contre le changement climatique qui devait atteindre 100 milliards de dollar par an en 2020 et qui après un premier échec, n’a pas été atteint depuis. Cependant, d’après le « 5th biennial high-level ministerial dialogue on climate finance », il est possible que l’objectif soit enfin atteint cette année, ce qui pourrait rallumer une lueur d’espoir car cet indicateur a souvent été utilisé comme reflet des ambitions climatiques. Les parties s’attendent maintenant à ce que de plus grands engagements soient pris dans le financement de l’adaptation au changement climatique et des pays les plus vulnérables. Le ‘stocktake’ mentionne que les créations d’emplois liées à la transition énergétique seraient 3.5x supérieures aux suppressions de postes à 2030. En effet, de véritables progrès pourraient découler de la notion de transition juste, qui est inclusive de la nature et de l’humain. Lors de la COP27¸ les océans et les forêts ont fait leur apparition dans les négociations, au titre de leur interconnexion fondamentale avec le changement climatique. La santé, que ses répercutions soient sur les humains ou sur notre système agricole, devrait être formellement mentionnée pour la première fois lors de la prochaine COP puisqu’en effet le changement climatique chamboule les systèmes de santé actuels : incidence plus élevée de coups de chaleur, des conditions de travail plus difficiles, une augmentation des maladies transmises via virus, une modification de la nutrition et des rendements des cultures. Une chose est clairement différente cette année et elle réside dans la conscience générale de l’insuffisance de l’action. Le « Global Stocktake » a pour objectif de suggérer des politiques plus ambitieuses qui pourraient  apporter la mesure nécessaire à une conversion positive de cette 28ème édition de la COP. Sans enfoncer de portes ouvertes, la clé de notre succès pour garder 1,5°C vivant réside dans une coopération internationale autour d’ambitions domestiques coordonnées qui dépassent le débat de la discrimination par la contribution historique mais se concentre sur le bénéfice plus uniforme pour les générations futures. « Les espèces qui survivent ne sont pas les espèces les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s’adaptent le mieux au changement ». « Le Global Stocktake est conçu comme un mécanisme d'évaluation périodique et régulier des progrès mondiaux réalisés dans la réalisation des objectifs de l'Accord de Paris. Il prend en compte les progrès réalisés par les pays liés à la mise en œuvre de l'Accord. » Par Marie LASSEGNORE.

  • Recrutement

    94.4% des étudiants recommandent La Française pour y effectuer un stage ou une alternance

    Pour la 4ème année consécutive, La Française est labellisée HappyIndex®Trainees avec une note globale de 4.11/5 ! Un grand merci aux étudiants de La Française pour leur confiance et la reconnaissance qu'ils ont témoignée en répondant à l'enquête HappyIndex®Trainees 2024*, ainsi qu'aux tuteurs pour leur engagement et implication pour offrir la meilleure expérience professionnelle.* Label 2024 : campagne ouverte du 01/09/2022 au 31/08/2023 Parmi les critères qui ont le plus marqué nos étudiants pour cette dernière campagne : la qualité de leur intégration, l'organisation du travail qui respecte leur équilibre personnel, la qualité des relations humaines, la possibilité de prendre des initiatives dans leur travail, et l'intégration des enjeux environnementaux. Nous préparons depuis le 1er septembre 2023 la nouvelle campagne HappyIndex®Trainees et visons bien entendu le label 2025 qui nous pousse à améliorer nos pratiques et process afin de répondre aux attentes et besoins des étudiants que nous accueillons. Le label HappyIndex®Trainees est un label indépendant développé par la société ChosseMyCompany qui valorise les entreprises recommandées par leurs stagiaires et alternants pour la qualité de leur accueil, du management et des missions qui leur sont confiées.   #BlueBuds #HappyTrainees #ChooseMyCompany

  • Autre

    Un pas de plus pour la nature - Groupe La Française

    Par Guy Wilkinson, analyste ESG, La Française AM Le 28 mars 2023, la Taskforce on Nature-related Financial Disclosures (TNFD) a rendu publique la 4ieme version de son cadre bêta. Il s'agit de la dernière version provisoire, avant la publication des recommandations finales qui interviendra plus tard dans l'année. La nature et la biodiversité sont sous les feux de la rampe depuis quelques années et la création de la TNFD en 2021 est le reflet de ce regain d'intérêt, tout comme la COP15 en 2022. A cette occasion, plus de 190 pays se sont engagés à respecter un plan d'action global en faveur de la biodiversité, reconnaissant l'importance cruciale de la nature et de la biodiversité pour l'économie mondiale. Après tout, plus de 50 % de l'économie mondiale dépend de la nature. Bien qu'elles ne soient pas conçues pour être obligatoires, les recommandations de la TNFD sont censées fournir un cadre pour la gestion et le reporting des risques liés à la nature. On peut également s'attendre à ce que les recommandations de la TNFD soient rendues obligatoires par les régulateurs au fil des ans, comme cela avait été le cas pour la Taskforce on Climate-related Financial Disclosures (TCFD). Qu'est-ce que la TNFD ? La TNFD est une initiative mondiale de place qui vise à développer un cadre pour la gestion et le reporting des risques, opportunités, incidences et dépendances liés à la nature. Elle a été lancée en 2021 dans le but d'orienter les flux financiers vers des impacts positifs et de les détourner des impacts négatifs sur la nature grâce à des informations normalisées. Le groupe de travail compte actuellement plus de 40 membres, dont des entreprises et des institutions financières, représentant 20 000 milliards de dollars d'actifs sous gestion. Un millier d'organisations dans le monde soutiennent également le forum de la TNFD, avec 18 partenaires représentant des organisations scientifiques, de conservation et d'élaboration de normes au niveau mondial. Qu'est-ce qui a changé entre la v.0.3 et la v.0.4 ? Bien que la structure et les éléments principaux du cadre soient similaires à ceux de la version précédente, la TNFD formule désormais 14 recommandations, dont 11 sont directement adaptées du cadre de la TCFD pour le climat qui est couramment utilisé. Les trois nouveaux ajouts concernent les piliers " Gestion des risques " et " Stratégie " ; ils mettent l'accent sur l'engagement des parties prenantes, la chaîne de valeur et la spécificité de l'environnement local - des sujets qui sont particulièrement importants dans le contexte de la nature. Il s'agit d'un changement important par rapport à la TCFD, qui n'avait pas précisé ces détails de manière aussi exhaustive. C'est également la première version à inclure des recommandations sur les données et les indicateurs, ainsi que des cadres d'orientation sectoriels. La TNFD a fourni une première série de paramètres qui peuvent être utilisés pour les publications liées à la nature. Ceux-ci sont répartis selon trois catégories : de principaux indicateurs mondiaux qui s'appliquent à tous les secteurs, de principaux indicateurs sectoriels qui s'appliquent à certains secteurs et des indicateurs de transparence supplémentaire, recommandés mais non obligatoires. Voici quelques exemples d'indicateurs fondamentaux de divulgation au niveau mondial : l'étendue des changements d'utilisation des terres, des eaux douces et des océans par type d'écosystème et par activité commerciale ; le total des polluants rejetés dans le sol, répartis par type ; et le total des polluants atmosphériques autres que les gaz à effet de serre, répartis par type. Dans cette version, la TNFD a également fourni des indications sectorielles pour l'industrie agroalimentaire et les institutions financières, qui comprennent des projets d'orientations en matière de divulgation, ainsi que des conseils supplémentaires sur les biomes. Qu'est-ce qui peut encore être amélioré ? Nous pensons que certains aspects du projet de divulgation peuvent encore être améliorés. Par exemple, le champ d'application est potentiellement trop libre. Étant donné que les organisations disposent d'une grande marge de manœuvre pour déterminer l'importance et la portée de leur analyse, il est plausible que les entreprises d'un même secteur présentent des niveaux de transparence très différents. Bien que la TNFD ait fourni une série d'outils, tels qu'ENCORE, qui facilitent grandement la publication d'informations, nous restons convaincus que l'ensemble des paramètres de base n'est pas applicable à tous les secteurs. Du point de vue d'une institution financière, il est peu probable qu'elle soit en mesure de rendre compte et de communiquer sur l'ensemble des 14 indicateurs fondamentaux à l'échelle mondiale, simplement en raison d'un manque de portée et de données reportées (pour le scope 3). Par exemple, la pollution des sols, qui doit être divulguée sous la forme d'un " Total des polluants dans le sol, répartis par type ", n'est souvent pas un point de données facilement accessible et les entreprises des secteurs fortement exposés à la pollution des sols auront besoin de temps et de ressources pour commencer à la signaler. Un risque existe également que les institutions financières soient contraintes d'utiliser une seule méthodologie ou source de données particulière pour se conformer aux normes et aux réglementations jusqu'à ce qu'un consensus se dégage sur la meilleure façon de décrire les impacts et les dépendances. La version finale sera publiée en septembre 2023. Néanmoins, nous pensons qu'il est important pour les acteurs du marché d'être proactifs et de commencer à intégrer le cadre TNFD dès maintenant. L'accent est de plus en plus mis sur une transition bénéfique à la nature, combinée à une transition zéro émission nette. Et là où commence à être mis l'accent, il est probable que la réglementation suivra. Ce commentaire est fourni à des fins d'information et d'éducation uniquement. Les opinions sont exprimées par le Groupe La Française. Ces opinions peuvent différer de celles d'autres professionnels de l'investissement. Publié par La Française AM Finance Services, dont le siège social est situé au 128 boulevard Raspail, 75006 Paris, France, société réglementée par l'Autorité de contrôle prudentiel en tant que prestataire de services d'investissement sous le numéro 18673 X, société affiliée de La Française. La Française Asset Management est agréée par l'AMF sous le numéro GP97076 depuis le 1er juillet 1997.

  • Défi

    La Française : Indice RIBI : La Française classée « Avant-Gardiste » en 2023

    La Française intègre le cercle très restreint des asset managers qualifiés « d’avant-gardistes » parmi les 600 plus grands gérants mondiaux, soit 19% des sociétés de gestion évaluées par le Responsible Investment Brand Index (RIBI).  - En France, le groupe intègre le TOP 10 France des sociétés de gestion « avant-gardistes ». - La Française progresse de « traditionaliste » à « avant-gardiste » grâce à une amélioration de sa note de marque désormais supérieure à la moyenne de l’industrie. - La Française démontre sa capacité à progresser dans sa dimension responsable tant dans ses investissements que dans son image de marque. Ce classement est le reflet d’années de travail en matière d’investissement responsable. Bravo à l’ensemble des équipes du groupe La Française qui ont contribué à cette récompense qui souligne notre positionnement en tant qu’acteur responsable. Poursuivons ensemble dans cette voie pour promouvoir l’investissement responsable et améliorer nos résultats. L’indice RIBI évalue près de 600 gestionnaires d'actifs à l'échelle mondiale sur leur capacité à traduire l'engagement en faveur du développement responsable dans leur marque.  Pour en savoir plus sur les résultats du Responsible Investment Brand Index™ 2023 : https://www.ri-brandindex.org/

  • Défi

    La Française : LF Opportunité Immo obtient le label “SCPI 2023”

    Notre SCPI logistique a été récompensée par la rédaction d'Ideal-investisseur.fr - Magazine !  LF Opportunité Immo obtient le label “SCPI 2023” , qui vient récompenser les meilleures #SCPI du marché sur la base de critères objectifs (rendement, frais, diversification....).  Investir comporte des risques, notamment de perte en capital, prenez en connaissance.