Gendarmerie Nationale

Notre engagement, votre sécurité !

Company type

Government/ Charity/ Public Institution/ Other


Sector

Defense


Location

4 rue Claude-Bernard 92130 Issy-les-Moulineaux

News (29)

  • Recruitment

    La formation d’officier à l’Académie Militaire de la Gendarmerie Nationale (2/2)

    L’Académie Militaire de la Gendarmerie Nationale (AMGN) assure la formation initiale et continue des officiers de gendarmerie. Le cursus des élèves-officiers s’articule autour de différents modules : 1- Formation à la vie en campagne En tant qu’élève-officier, vous apprenez à monter un bivouac pour dormir dehors, prendre soin de votre hygiène quand vous n’avez pas accès à des douches. Ces compétences seront mises en pratique tout au long des stages puisque vous n’aurez pas accès au confort de base pendant les premières semaines.  Par exemple : l’année dernière, les élèves-officiers ont dormi dehors pendant 3 semaines, mangé des sachets repas pendant 4 semaines et n'ont eu accès aux douches et au lave-linge qu'au bout de 2 semaines. Cet aspect de la formation participe à l'apprentissage de la vie en collectivité mais aussi au développement de la cohésion de la promotion. 2- Formation tactique Vous êtes également formés aux fondamentaux de la tactique par une succession de cours théoriques (majoritairement dispensés sur le terrain) et d'exercices de mise en pratique. Il s’agit de devenir autonome en qualité de combattant puis de chef d'équipe. Très concrètement, vous apprenez d'abord les actes réflexes et élémentaires du combattant qui vous permettent de vous déplacer et de combattre face à un adversaire. Vous travaillez ensuite les missions de l'équipe ce qui permet d'exécuter les ordres du chef de groupe. Vous découvrez des procédés de combat, communs aux armées, mais transposables dans l'action quotidienne du gendarme : donner des ordres, effectuer des comptes-rendus, désigner un objectif, réagir à un engin explosif improvisé ou une prise à partie par arme à feu, extraire un blessé sous la menace d'un ennemi, organiser un poste de surveillance, patrouiller, etc. Par exemple : l’année dernière, un exercice de 36h a été mis en place pendant lequel les élèves-officiers sont transportés en camion jusqu'à des points de dépose. Ils doivent ensuite progresser tactiquement jusqu'à une « base avancée » où ils vont s'installer pour la défendre pendant 18h. Ils quittent cette base le lendemain et doivent effectuer de nouveau un déplacement tactique jusqu'à des points de récupération, le tout en état de fatigue avancée. Ils découvrent également de nouveaux savoir-faire comme la topographie, la maîtrise avec arme de l'adversaire (savoir utiliser l'armement du gendarme), la maîtrise sans arme de l'adversaire (être capable de se défendre et maîtriser un adversaire à l'aide de compétences de base en sport de combat).

  • Meeting

    Parcours d’officier : témoignage du lieutenant Killian sur sa scolarité à l’AMGN

    « Un rythme intense, une discipline de vie Dès les premiers instants, la vie d’élève officier est rythmée, exigeante, et profondément collective. Réveil à l’aube, préparation physique, cours académiques, entraînements militaires… chaque journée est structurée pour forger le corps, mais surtout l’esprit. Au fil des semaines, on apprend à se dépasser, mais aussi à compter les uns sur les autres. Les liens créés dans la promotion sont forts, ancrés dans l’effort partagé et les moments de doute surmontés ensemble. On découvre aussi que le leadership ne s’improvise pas : il se construit, dans la confiance, la lucidité et l’exemplarité. Une formation exigeante et passionnante Le quotidien est marqué par une alternance entre théorie, pratique et immersion. En salle, on étudie la police judiciaire, la gestion des ressources humaines, la tactique militaire, la déontologie. Sur le terrain, on apprend à intervenir, à commander, à garder son sang-froid. Très vite, nous sommes confrontés à des mises en situation proches du réel : patrouilles, enquêtes judiciaires, commandement de troupes. C’est concret, intense et profondément formateur. La formation : du kaki au bleu Comme tout militaire, l’officier de gendarmerie se construit au travers d’une formation dite « kaki ». Les stages de chef d’équipe, chef de groupe, chef de section, brevet parachutiste, certificat montagne ou encore initiation commando forgent la rusticité et la capacité tactique dont nous aurons besoin sur le terrain. À cette formation « kaki », s’ajoute la formation « bleue », consacrée au métier et à l’essence du gendarme. Intervention professionnelle, police judiciaire, maintien de l’ordre et sécurité marquent notre quotidien. Des traditions et une vie de promotion  La vie à l’Académie est aussi marquée par les traditions d’officier et le cérémonial militaire : cérémonies des couleurs, remise des képis, de la tenue de tradition et des sabres, baptême de promotion. La vie de promotion est dense et permet aux élèves de prendre des responsabilités au sein de cellules pour faire vivre leur école. » Pour en savoir plus, c'est ici :

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    Parcours d’officier : récit du lieutenant Valentin sur sa scolarité à l’AMGN

    « C’est un soir d’août, après avoir franchi le grand portail bleu de l’avenue du Treizième Dragon, que j’ai commencé à entrevoir l’importance des changements qui allaient s’opérer dans mon quotidien. Ce n’était pas uniquement ma tenue civile que je rangeais dans l’armoire de ma nouvelle chambre. C’était ma vie d’étudiant, avec le confort et l’état d’esprit qui la caractérisaient. Le temps de réaliser que je me trouvais dans l’école qui motivait mes longues soirées de révisions, j’étais vêtu d’un treillis tout neuf, mon lit avait laissé place à un sac de couchage et les traditionnels sushis du vendredi soir avaient pris le doux nom de "Ration de combat individuelle réchauffable". A l’instar des camarades qui partageaient désormais mon quotidien, je découvris rapidement que les 24 heures d’une journée pouvaient être exploitées. La formation militaire initiale qui commença alors, m’apprit les rudiments de la militarité, la primeur du collectif sur l’individuel et la lucidité dans l’effort. Les différents stages militaires qui suivirent, me faisant endosser successivement le rôle de chef de groupe puis de section, posèrent les fondations de ma formation d’officier de gendarmerie et me firent toucher du doigt le chemin qui me restait à parcourir. Je dus m’efforcer d’apprendre un nouveau langage, celui du commandement. Un langage commun qui ne s’embarrasse d’aucune superficialité, bien loin des plans en deux parties avec lesquels j’avais été biberonné à l’université. Cette nouvelle manière d’observer, de raisonner et de transmettre m’a conduit à m’affirmer, à trouver un nouveau positionnement qui put s’exprimer à de nombreux égards. Ni trop ni pas assez, tel est le difficile équilibre à trouver pour être juste. Un équilibre fragile qui se renforce au gré des expériences au contact des militaires des différentes unités rencontrées au cours de la scolarité. Comme un saut en parachute, on ne réalise vraiment ce qu’il s’est passé qu’après avoir retrouvé la terre ferme. De la cérémonie des sabres au défilé du 14 juillet, de la forêt de Brocéliande aux rues du Centre national d'entraînement des forces de gendarmerie à Saint-Astier, du tarmac de l'École des Troupes Aéroportées à la sécurisation des Jeux Olympiques, j’ai pu dépasser bon nombre de mes limites et remettre en question mon commandement en devenir. Après un an et demi de formation, à l’heure où quelques semaines seulement me séparent de ma première affection, je ne regrette en rien d’avoir intégré cette voie. A ceux qui souhaitent l’embrasser, il vous faudra faire preuve de rigueur et de résilience, de jour comme de nuit. Dans l’effort et l’inconfort, avec et grâce à vos camarades, vous apprendrez sur vous-même et découvrirez l’importance du collectif. Au-delà des compétences professionnelles que vous acquerrez, c’est avant tout vos qualités humaines qui dicteront l’officier que vous serez. » Pour en savoir plus, c'est ici :

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    Parcours d’officier : témoignage du lieutenant Clément sur sa scolarité à l’AMGN

    « Lorsque je réussis le concours, j’ai 25 ans et n’ai aucune expérience en gendarmerie. Je découvre alors rapidement le monde militaire lorsque la Formation Militaire Initiale (FMI) débute et suis surpris de son intensité. Elle est d’autant plus intense lorsqu’on n’a jamais été confronté à des conditions rudimentaires. C’est dans ces conditions de fatigue et d’efforts que se développent des qualités indispensables et inhérentes au monde militaire : la rusticité, l’engagement et surtout la camaraderie. J’ai pu les développer notamment durant les longues marches ou les missions de surveillance nocturne. On apprend alors à faire attention à soi, le bien connu « être et durer », mais surtout aux autres. Constamment, nous sommes amenés à regarder nos camarades, leurs attitudes, leur tenue (gare à celui qui ne cire pas ses chaussures avant de défiler sur une place d’armes) mais surtout leur état de santé. J’ai eu la chance de découvrir et dépasser mes limites pendant cette FMI, ce qui est formidable pour se découvrir soi-même. La scolarité est aussi ponctuée par des moments beaucoup plus symboliques que représentent le parcours tradition et les activités promotion. Ces moments permettent de se forger une identité d’officier mais aussi un véritable esprit de promotion. Le moment le plus marquant de ce parcours reste à mes yeux la « cérémonie des sabres », une cérémonie déterminante dans le parcours tradition qui fait entrer l’élève dans le corps des officiers. La présence des familles, des autorités militaires et étatiques soulignent une solennité et une émotion qui resteront gravées dans ma mémoire. Écrire des articles relatant la vie de promotion, chanter dans une chorale ou encore préparer des moments de convivialité importants tels que les galas permettent de s’épanouir durant la scolarité et de développer de véritables compétences d’organisation de projet. A titre personnel, j’ai pu co-organiser des projets avec la chorale de l’école et en garde un merveilleux souvenir. Pour résumer, les deux ans de scolarité sont jalonnés non-seulement par des phases de développement de compétences professionnelles et militaires, mais aussi des phases de tradition et de promotion qui permettent, à terme, de se forger une âme de chef opérationnel de gendarmerie. »

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    Parcours d'officier : témoignage du lieutenant Sarah sur sa scolarité à l'AMGN

    « La scolarité à l’Académie militaire de la gendarmerie nationale (AMGN) dure 2 ans. Elle est ponctuée par des camps militaires, des moments de tradition, des cours théoriques et des mises en situation pratiques. Si tu veux en savoir un peu plus sur le quotidien d’un élève-officier, je t’embarque avec moi dans mon quotidien en te racontant mes journées durant les différentes périodes de la scolarité. Nous sommes en août, lors de notre premier camp militaire à Beynes. Ce matin, nous nous levons à 5h00 pour un réveil musculaire d’une heure environ afin de se mettre en forme pour la journée à venir. Ensuite, nous partons pour 3 jours de bivouac. Nous passons nos journées à pratiquer la tactique militaire : nous progressons discrètement, nous décelons les ennemis pour les neutraliser. Le soir nous mangeons et dormons dans des bivouacs confectionnés par nos soins. Évidemment, toute la nuit, nous nous réveillons à tour de rôle afin d’effectuer des rondes pour déceler les éventuelles attaques ennemies. Faisons maintenant un bon au mois de mars. La période kaki [ndlr : la période kaki correspond à la formation militaire] va bientôt s’achever et nous sommes maintenant à Pau pour le stage parachutiste. Nous sommes le 7 mars, il est 9h00 et je suis dans l’avion, un CASA-CN 235. Je m’apprête à réaliser mon premier saut en parachute, seule. C’est un mélange de stress et d’excitation, puis de soulagement une fois arrivée sur la terre ferme. Encore 5 sauts et je serai brevetée parachutiste. En avril, la période kaki est terminée, les beaux jours reviennent et nous passons beaucoup de temps sur les bancs des amphithéâtres de l’école. Les cours enseignés vont du droit pénal aux ressources humaines, en passant par la déontologie, la maîtrise des différents logiciels utiles en gendarmerie, etc. La première année de formation va bientôt s’achever, nous sommes en mai et nous partons trois semaines en stage dans une brigade de gendarmerie. Je passe la plupart de mon temps avec le commandant de brigade afin de bien comprendre son rôle et ses missions quotidiennes. J’organise chaque jour le service, j’étudie des procédures judiciaires, je pars au contact des maires de la circonscription. Je participe à différentes réunions et à des interventions dans le milieu scolaire sur le harcèlement et les discriminations. Ce moment est incroyable car il me permet de me projeter dans mes futures fonctions ! Nous voilà désormais entrés dans la seconde année de la scolarité. Après quelques mois de cours théoriques et de préparation à l’école, nous partons à Saint-Astier au CNEFG (Centre nationale d’entrainement des forces gendarmerie) afin de passer le brevet de moniteur en intervention professionnelle. Les journées sont rythmées par des séances de tir, des cours de maîtrise de l’adversaire et des mises en situation de commandement pour, par exemple, aller interpeller un individu recherché à son domicile. Ce brevet est important car il me permettra de réaliser des instructions au profit de mes gendarmes, et notamment de diriger des séances de tir. Enfin, je te propose de passer une journée avec moi en fin de scolarité. Nous sommes en avril et j’ai choisi de servir en Sécurité publique générale, c’est-à-dire que je dirigerai dans quelques mois une brigade de gendarmerie ou un peloton de surveillance et d’intervention. Ce matin, je joue le rôle de commandant de brigade dans une brigade fictive qui a été créée à l’école. Je vais devoir gérer tous les événements comme dans la vraie vie. C’est assez réaliste et cela nous entraine à utiliser les outils métiers et communiquer avec nos différents interlocuteurs. Ce matin, j’aurai à gérer une découverte de cadavre et un conflit entre deux gendarmes, tout en contrôlant que les plaintes sont prises, que les enquêtes avancent et que les interventions sont bien gérées par mes personnels. Voilà, j’ai essayé de te résumer brièvement le déroulement de notre scolarité. Mais elle est riche et très dense ! Si tu souhaites en savoir davantage, n’hésite pas à venir nous voir lors des portes ouvertes, lors de la journée de l’officier ou d’autres événements organisés à l’école. »

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    Parcours d'officier : témoignage du lieutenant Corentin sur sa scolarité à l'AMGN

    "Je suis le lieutenant Corentin, et je suis aujourd’hui officier-élève à l’Académie Militaire de la Gendarmerie Nationale (AMGN). Après un diplôme d’ingénieur en génie informatique à l’Université de Technologie de Compiègne (UTC), j’ai souhaité rejoindre la Gendarmerie pour plusieurs raisons. - Tout d’abord, j’ai toujours été attiré par le monde militaire, et les valeurs qui lui sont attachées. - Par ailleurs, je souhaitais servir mes concitoyens, en leur apportant des solutions concrètes aux problèmes du quotidien. Je ne retrouvais pas cet aspect dans le métier d’ingénieur, plutôt tourné vers le développement de solutions scientifiques. - Enfin, je voulais de l’action, bien loin des métiers de bureau vers lesquels m’amenaient mes études, et j’étais attiré par le commandement. Mes études d’ingénieur m’ont aidé dans plusieurs domaines. Par exemple, l’esprit d’analyse et de synthèse que j’ai pu développer sur les bancs de l’UTC me sert aujourd’hui à mieux comprendre les situations complexes auxquelles je peux être confronté.  De plus, les aspects managériaux intégrés à ma formation d’ingénieur ont pu être utilement transposées à mes futures fonctions d’officier de gendarmerie. Le quotidien d’un élève-officier est rythmé par des cours touchant à diverses thématiques : tactique militaire, intervention professionnelle, prise en compte des violences intra-familiales, commandement et gestion des ressources humaines, etc. Cet enchaînement de cours nous amène à monter en compétences sur différents domaines, de manière progressive et continue.  Il nous permet également de nous projeter dans notre futur quotidien de commandant d’unité de gendarmerie : toujours en mouvement, avec des tâches variées tout au long de la journée ! Une anecdote marquante, illustrant ce quotidien mouvementé, peut être celle du changement de tenue : il n’est pas rare que, dans la même journée, nous devions revêtir une tenue de sport, puis un treillis (pour les cours d’intervention professionnelle), puis une tenue de service courant (pour les cours académiques), puis la Tetra (tenue de tradition, pour les cérémonies). La scolarité est intense, mais nous permet de repousser nos limites et de vivre des expériences que l’on ne vivrait pas ailleurs.  Par exemple, mener une charge de gendarmes mobiles de nuit et dans un nuage de lacrymogène n’aurait pas été envisageable si j’étais resté ingénieur ! Pour conclure, loin d’être complètement dé corrélées de mon choix de carrière, mes études d’ingénieur sont finalement un atout me permettant d’envisager mon futur emploi plus sereinement.  Cependant, le rythme de formation à l’AMGN est radicalement différent, et plus stimulant et enrichissant."

  • Recruitment

    Evènement live chat | Les métiers du soutien : les indispensables de la gendarmerie !

    Viens découvrir la diversité des métiers du soutien en gendarmerie ! Rejoins notre live chat le mercredi 11 juin de 18h à 19h pour échanger en direct avec les ambassadeurs gendarmerie. Tu pourras poser toutes tes questions sur les métiers du soutien dans les domaines suivants : Administration & RH Hôtellerie-restauration Mécanique Armurerie Immobilier Une occasion unique d’en savoir plus sur la gendarmerie et de te projeter dans ta prochaine aventure ! Inscris-toi à l'événement en suivant ce lien :

  • Recruitment

    La gendarmerie nationale finance vos études !

    Sans condition de revenus, bénéficiez d’une allocation financière spécifique de formation (AFSF) allant de 4000 à 15000 euros.  Un dispositif pour les étudiants en BTS ou en école d’ingénieur, même boursiers ! La gendarmerie nationale participe au financement de votre diplôme grâce à l’Allocation Financière Spécifique de Formation. Ce dispositif d’aide financière aux études est dédié aux étudiants s’engageant à servir en qualité de militaire de la gendarmerie sur des métiers bien spécifiques. Étudiant en école d’ingénieur Des allocations seront attribuées aux étudiants souhaitant devenir officier sous contrat (ingénieur), d’un montant de 15 000 euros brut chacune.  Vous pouvez y prétendre et, à l’issue de l’obtention de votre diplôme, vous servez en tant qu’officier sous contrat et exercez dans des domaines tels que la cyber sécurité, les systèmes d’information, l’intelligence artificielle, etc. La durée de lien au service est de 5 ans. Étudiant en BTS Des allocations seront attribuées aux étudiants souhaitant devenir sous-officiers en appui des opérations (CSTAGN), d’un montant de 4 000 euros brut chacune. Vous pouvez y prétendre et, à l’issue de l’obtention de votre diplôme, vous servez en tant que sous-officier en appui des opérations. La durée de lien au service est de 3 ans. Les formations éligibles sont : Gestion immobilière BTS Bâtiment BTS Profession immobilière BTS Management économique de la construction BTS Enveloppe des bâtiments : conception et réalisation BTS Finitions, aménagement des bâtiments : conception et réalisation Gestion en restauration-hôtellerie et loisirs BTS Management en hôtellerie restauration BTS Commercialisation et service en restauration BTS Comptabilité et gestion Mécanique auto et engins blindés BTS Maintenance des véhicules Pour plus d’informations Ce dispositif vous intéresse ?  N’attendez pas pour constituer votre dossier, contactez le Centre d’Information et de Recrutement le plus proche de chez vous !